• Le temps

    Le temps

     

     

    Un rubrique où je posterai mon deuxième roman. Il s'agit d'une jeune fille qui se prénomme El, après l'agression de son père elle se retrouve à faire des études dans une université un peu spéciale. Je le posterai petit à petit car il n'est pas terminé et aussi car il ne comporte pas de chapitres. :)

  • On continua à parler, puis on partit chez lui car on se sentait plus en sécurité ensemble.

    Quand on sonna à sa porte, on s'interrogea du regard, puis comme un accord commun on éteignit les lumières et on se fit les plus silencieux possible. Nous étions effrayés, qui pouvait rendre visite à Joé à une heure pareille. Quelqu'un essayait de forcer sa porte, on les entendait taper et discuter. Quand la porte céda, de l'endroit où on s'était réfugié on ne pouvait voir qui était entré. On s'était réfugié dehors en passant par la fenêtre du salon. On les vit pénétrer dans le salon, visiblement ils nous cherchaient. Ils étaient cagoulés, on ne pouvait voir que leurs yeux. Ils étaient tous habillés de rouge, une couleur qui me paraissait un peu étrange pour des cambrioleurs. L'un d'entre eux se tourna dans direction. Ses yeux paraissaient totalement vides, inhumains.

    Je ne comprenais plus rien, d'abord mon père puis moi...

    On était tellement effrayé qu'on ne vit pas le danger se rapprocher de nous. Quand quelqu'un nous attrapa. Je ne sais pas pourquoi mais ni Joé ni moi ne nous débattirent, ces bras ne nous paraissaient pas hostiles. On se laissa donc faire. Il nous emmena au fond du jardin juste avant que l'on voit débarquer 3 des personnes qui se trouvaient à l'intérieur, à l'endroit où on se trouvait quelques minutes plus tôt. Il nous lâcha et on put le voir... enfin la voir. Une femme quand un homme la rejoignit. Je les reconnus immédiatement pourtant je ne les avais vu que dans mes rêves, les Jon's. Dans mes rêves je les voyais me suivre et me protéger du moindre danger. Sauf qu'ils ne peuvent pas exister car ce sont des sorciers. Visiblement, Joé les avait aussi reconnus car il avait le même sourire idiot que moi. Ils nous sourirent en retour et nous firent signe de les suivre, ce que nous fîmes sans protester ni dire le moindre mots.


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